
Béziers Cers-Portiragnes Occitan et Jeunesse Sportive Villeneuvoise se sont associés à l’intersaison.
sers à l’est, Porteraghness Sud-Est, fusion Villeneuve les Béziers Deux villages voisins sont évidents. “Cependant, cela a peut-être secoué certains anciens des deux côtés”expliquer, comprendre, Julien MartinezPrésident et actuellement co-président de JSVESPCVL’Entente Sportive de Portiragnes-Cers-Villeneuve.
Deux clubs séculaires, rivaux de longue date voyageant désormais ensemble, sur le gazon Régional 3. Avec son rival Julien Cicotte de Cers-Portiragnes, il s’entend “Ne soyez pas de ces villages”Donc, réunir les trois villages et les deux clubs dans un but supérieur est définitivement plus facile.
Nous sommes forts ensemble, notamment autour de Béziers où la concurrence est féroce. “On ne peut pas se battre avec des clubs qui paient quelques euros aux joueurs”, note Martinez. Servian-Baujan (Fédéral 2) au nord, Vendres-Lespignan-Sauvian (Fédéral 3) au sud-ouest, ou Plages d’Orbe (Régional 1) au sud, l’ESPCV est au milieu des grands clubs, qui doivent être taillé dans un carré. « Les premiers pas de cette nouvelle aventure se sont déroulés dans un environnement formidable.Le coprésident note. Maintenant que la saison est lancée, tout le monde peut voir que le plan se déroule bien.
“Aucun des villages ne voulait lâcher ses entraîneurs, alors nous avons gardé tout le monde.”
Sportivement, dans une R3 Poule 1 ultra-homogène, les nouveaux joueurs sous contrat s’en sortent très bien. Un bilan équilibré Trois victoires, un nul et trois défaites. Avec 17 points, les joueurs de Logo sont cinquièmes de leur groupe, à seulement cinq unités de la tête détenue par Nissan-Columbiares.
De toute façon, “L’ambition de cette première saison est de bien vivre ce rassemblementLe chef explique. Premièrement, le but est plus moral que sportif.
Le club amerois notamment peut s’appuyer sur un effectif conséquent. “On doit être le seul club d’Occitanie avec cinq entraîneurs dans une confédérationJulian Martinez plaisante. Aucun village ne voulait lâcher ses entraîneurs, nous les avons donc tous gardés avec Didier Verta comme directeur général.
Côté pratique, les joueurs s’entraînent un mois à Villeneuve-les-Béziers et un mois à Sers, et ils peuvent compter sur encore plus. “500 personnes par réunion”, Julian Martinez a prononcé le discours de bienvenue. Désormais, avec cette nouvelle dynamique, Cerso-Portiragnais et Villeneuvois veulent viser plus haut.